1997. Brazzaville subit de lourds bombardements qui laissent derrière eux une grande partie de la population complètement désemparée, mais surtout de nombreuses victimes qui jonchent le sol. Ces corps éventrés, meurtris, décharnés se retrouvent dans les couloirs des hôpitaux qui ne peuvent faire face à cet afflux de victimes. Dans une grande confusion, les chirurgiens font ce qu'ils peuvent mais le désarroi des familles et le manque de matériel créent une confusion générale. Comme souvent dans ces cas-là, l'humanité passe au second plan, c'est l'animalité qui reprend le dessus et fait place au "labyrinthe du chaos".
Suivi d'une entrevue entre l'auteur et Bernard Magnier
Suivi de Chemin de fer