Les premiers manifestes qui accompagnent les œuvres montées et présentées clandestinement dans les appartements sous l’occupation nazie, se poursuivent par des réflexions et des essais théoriques rejetant la doctrine imposée du réalisme socialiste. Après le refuge dans l’espace métaphorique, c’est la création du Groupe de Cracovie et de l’ensemble Cricot 2 en 1955 qui lui permettent d’approfondir ses recherches sur l’art et le théâtre. Les happenings, les Cricotages et les expositions se développent, interférant avec l’œuvre théâtrale et toujours associés à d’importants manifestes jusqu’à la création de La Classe morte qui inaugure le cycle du Théâtre de la Mort.