Les personnages y émergent d'un dix-huitième siècle rêvé ; on y voit un Casanova douloureux et superbe donner la réplique à de poétiques figures féminines, emblèmes d'éternité en des temps de trouble. Le texte (sa musique, sa vitesse, son délicat système d'images) s'affirme comme la seule substance qui soit sentie comme réalité, le seul festin possible parmi la peste du monde.
Publié dans Romantika